(画像はスキャンダルに巻き込まれたDSKに変わって、新任のラガルドIMF総裁。彼女もフランス。IMF総裁も日本からでていいのではないか。世銀がアメリカ、IMFが欧州という割り振りはもはや時代遅れ)。
Le FMI, l’inflation et les dépenses budgétaires
5 SEPTEMBRE 2011
Etant un des principaux créanciers de la République Démocratique du Congo (RDC), le Fonds Monétaire International (FMI) suit avec beaucoup d’attention l’économie du plus vaste pays d’Afrique Centrale. Ainsi, samedi dernier, l’institution de Bretton Woods a demandé, par l
a voix d’un communiqué, au gouvernement congolais de continuer à lutter contre l’inflation et de maîtriser ses dépenses en vue des prochains scrutins présidentiel et législatif.
En effet, après qu’une de ses missions ait effectué une dizaine de jours à Kinshasa, le FMI a conclu que l’inflation, bien qu’ayant sensiblement diminué (de 27 % en début 2011 à 22,9 % actuellement), se maintiendra, pour l’année en cours, « bien au dessus de l’objectif à un seul chiffre fixé par la Banque Centrale » du Congo (BCC en sigle). Cela s’explique, notamment, par « l’envolée des prix mondiaux des produits énergétiques et alimentaires ». C’est pourquoi, le FMI prône la vigilance « face au risque d’une accélération de l’inflation qui pourrait déstabiliser l’économie ». Constatant « les résultats macroéconomiques solides », laissant ainsi entrevoir la possibilité d’une croissance 2011 supérieure aux « 6,5 % initialement projetés », pour le FMI, les dirigeants congolais doivent « maintenir les grandes lignes » de leur politique ; ce, afin de maîtriser les tensions inflationnistes et préserver la position budgétaire, notamment dans la perspective des élections ».
Fixées au 28 Novembre prochain, elles cristallisent toute l’attention de la communauté internationale actuellement. Et, en particulier, celle du FMI, lequel estime que « les pressions en faveur des dépenses s’intensifient du fait des élections nationales et constituent le risque principal ».
En effet, après qu’une de ses missions ait effectué une dizaine de jours à Kinshasa, le FMI a conclu que l’inflation, bien qu’ayant sensiblement diminué (de 27 % en début 2011 à 22,9 % actuellement), se maintiendra, pour l’année en cours, « bien au dessus de l’objectif à un seul chiffre fixé par la Banque Centrale » du Congo (BCC en sigle). Cela s’explique, notamment, par « l’envolée des prix mondiaux des produits énergétiques et alimentaires ». C’est pourquoi, le FMI prône la vigilance « face au risque d’une accélération de l’inflation qui pourrait déstabiliser l’économie ». Constatant « les résultats macroéconomiques solides », laissant ainsi entrevoir la possibilité d’une croissance 2011 supérieure aux « 6,5 % initialement projetés », pour le FMI, les dirigeants congolais doivent « maintenir les grandes lignes » de leur politique ; ce, afin de maîtriser les tensions inflationnistes et préserver la position budgétaire, notamment dans la perspective des élections ».
Fixées au 28 Novembre prochain, elles cristallisent toute l’attention de la communauté internationale actuellement. Et, en particulier, celle du FMI, lequel estime que « les pressions en faveur des dépenses s’intensifient du fait des élections nationales et constituent le risque principal ».
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